M. Aeschlimann cite la « situation catastrophique » de la ville en 2014. Or c’était pire encore en 2008, après 14 ans où il était 1er adjoint puis maire !
La dette était de 200 M€, à 90 % toxique. La gauche écologiste a mené des actions pour la diminuer et la « nettoyer ». Au prix toutefois d’une hausse d’impôts, critiquée par l’équipe Aeschlimann. Finalement jamais annulée, elle permet à la majorité actuelle de stabiliser les impôts, récoltant les fruits du courage de l’équipe précédente.
Mais la communication municipale ne remonte jamais avant 2014…
L Guillard, F Pasquini et T Bury